S'il fallait chercher la poignée, c'est un trou béant que l'on apercevrait, un trou suffisamment grand pour y coller un grand oeil étonné.
Peut-être est-ce de cet étonnement que j'ai manqué. Et maintenant que survient l'oeil, je ne peux plus voir clairement.
Le confort me manque, oui, mais ce trou me fait oublier combien je l'ai détesté.
Le confort était en fait la dernière chose qui nous faisait exister.
De ces amitiés mortes, je réussis parfois à arracher quelques sourires, mais la plupart du temps, c'est une colère dépassée qui m'étreint. Une colère qui va, pourrissant.
Elle me permet pourtant de me souvenir, que nulle part, il n'existe de place à prendre et à occuper de façon légitime pour un temps infini.
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