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Un café.
Juste ce qu'il faut de noir.
La lumière tamisée.
Levés aux aurores.
Le café reflète le noir de dehors.
Ou l'inverse.
Le noir qui entre en flots entiers par la baie vitrée.
La lumière tamisée.
Tu me racontes.
Racontes que cette nuit, tu es venu.
M'embrasser chastement.
Plusieurs fois.
Dans un mouvement irrépressible.
Je ne me suis jamais réveillée.
De le savoir, quelque chose s'ouvre en moi.
A l'image de ce matin.
Des mots que nous échangeons.
Presque inaudibles.
Je t'aime tellement,
que des fois,
j'en ai presque mal.
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5 commentaires:
bouh ouh ouh ... que dire?
ps: désolé de mes mensonges intempestifs, mais au moins, je te les avoue :)
Benjamin > en même temps, si tu me dis rien, je saurais jamais que tu m'as mentie.
Enfin, je dis ça, je dis rien.
je t'ai cassé un mythe? Tous tes rêves en éclat?
C'est très beau ce que tu écris ...toujours aussi délicat et vrai. Il faudrait que je t'appelle ...bientôt.
Je t'embrasse.
Benj' > Mes rêves ne peuvent pas partir en éclat quand je partage des entre midi et 2 aussi gargantuesques de bouffe/vin/amour avec toi ;)
Mlys > C'est quand tu veux, miss. J'espère que tu t'adaptes ou du moins que t'arrives à faire avec... Je pense à toi.
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